Nombreux métiers nécessite une vigilance accrue. Nombreuses personnes aiment leur travail, tous comme les marins aiment naviguer. Vouloir relever des défis tout en travaillant de longues heures peuvent malheureusement avoir un impact physiologiques négatif sur l’homéostasie de l’organisme. Dérèglement surrénalien, immunitaire et neuronale ne sont pas rare chez les navigateurs de compétition. La nutrition reste l’élément déterminant pour optimiser sa course.
Pour exemple, en gérant l’aspect « vigilance », des repas plus riche en protéines (riche en tyrosine )vont plutôt accroître la synthèse de dopamine et noradrénaline. Les manipulations de la ration des navigateurs doivent être plus riche en protéines que la moyenne, viande, œuf, fromage ou un milk-shake de protéique plusieurs fois par jour, ce régime vise à optimiser de manière scientifique, et avec son implication évidente, la vigilance en course.
Cette répartition semble déséquilibrée mais permets une meilleure adaptation , ce qui engendre de rester éveillé plus longtemps et de mieux combattre les affres du sommeil. A l’instar, des athlètes d’endurance qui ingurgitent des prises élevés de glucides, le navigateur devra s’abstenir d’un tel régime. Le manque de vigilance peut être fatal