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5 novembre 2009 4 05 /11 /novembre /2009 09:45
A PROPOS DE L'EAU  

Les éléments suivants peuvent étonner et surprendre ... 


Un verre d'eau le soir diminue de 100 % les sensations de faim la nuit

Le manque d'eau est l'élément déclencheur n° 1 de fatigue diurne.

Des recherches scientifiques montrent que 8-10 verres d'eau par jour,diminuent sensiblement les douleurs articulaires et du dos chez 80% des personnes atteintes.

Une baisse de seulement 2% de l'eau du corps diminue la mémoire à court terme, diminue la faculté d'élaborer des problèmes de mathématiques de base, et la faculté de concentration.

Boire 5 verres d'eau par jour diminue le risque de cancer du côlon de 45%,  réduit radicalement les risque de cancer du sein de 79%, et l'on est 50% de moins susceptibles de développer un cancer de la vessie.

Êtes-vous sur de boire la quantité d'eau necessaire tous les jours?
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31 octobre 2009 6 31 /10 /octobre /2009 09:46

Le pluvier doré

On m’appelle “Pluvier doré”.

  A peu de chose près, ma taille est comparable à celle de la colombe et, comme elle, je suis capable de voler. Mais là s’arrête pratiquement tout ce que j’ai de commun avec cette collègue. Observez mon plumage ! Ma nuque est noire comme un tuyau de poêle ainsi que ma gorge, les reflets de mon poitrail et de mon dos. Et regardez donc comme mon Créateur a décoré chacune de mes plumes d’un merveilleux liseré. Tout le dessus de mon plumage scintille de reflets verts dorés, d’où mon nom : “Pluvier doré” ou encore “Pluvialis dominica fulva” pour vos scientifiques. […]

Au terme de 26 jours d’incubation, je cassai la coquille de mon œuf. Ensemble avec mes frères et sœurs, je me retrouvais dans une petite cuvette capitonnée de mousse et de feuilles mortes. C’était en Alaska. […]


Voilà donc mon lieu de naissance. Nos parents nous alimentaient de vitamines et de protéines: des fruits sous forme de baies acidulées et de baies de camarine, et de la viande sous forme de chenilles bien grasses et de croustillants coléoptères.


Nous avons grandi rapidement. Bientôt ce fut le moment d’apprendre à voler: quelle merveille! Pour la marche, en revanche, c’est tout à fait différent. Si vous me regardez, vous allez certainement sourire. Oui, oui, vous avez raison, mon pas est vacillant. Mon Créateur a jugé bon de me construire ainsi. Pensez-vous sérieusement que je serais “apparu” par hasard selon ce que certains d’entre vous appellent, de façon légèrement pompeuse, “l’organisation autonome de la matière”? Et savez-vous aussi que je vole jusqu’à Hawaii? Oui, c’est vraiment une très grande distance. Vous vous demandez certainement comment j’y parviens. Tout simplement en volant. Mon Créateur ne m’a pas destiné à être champion de course ou recordman à la nage. Par contre, je peux voler d’autant mieux, je vais vous le prouver.


Quelques mois seulement après la naissance, nous savions à peine voler que déjà nos parents nous quittaient. Ils nous devançaient en direction de Hawaii. Évidemment, nous l’ignorions à ce moment-là. En fait, le départ de nos parents nous importait fort peu! La seule chose qui nous intéressait vraiment, c’était la nourriture. De vrais gloutons! En un temps record, nous prenions 70 g. Donc plus de la moitié de notre poids. Essayez de vous représenter cette donnée à votre échelle humaine. Au bout de trois mois, votre pèse-personne indiquerait


125 kg au lieu de 80 kg! Vous aimeriez certainement savoir pourquoi je mange tant.

C’est tout simple : mon Créateur m’a programmé ainsi. Cet excédent de poids, mon carburant, m’est indispensable pour ma très longue traversée d’Alaska à Hawaii, soit une distance d’environ 4 500 km. Oui, oui, vous avez bien entendu ! Mais attendez, il y a mieux encore ! Durant tout ce trajet, je n’ai aucune possibilité de me reposer un seul instant! Pas d’île, pas d’îlot, pas le moindre petit espace de terre sèche. Et, comme vous le savez, je ne sais pas nager.


Avec mes compagnons d’âge, je vole sans interruption au-dessus de la mer durant 88 heures, donc trois jours et quatre nuits. Certains savants ont fait un petit calcul pour arriver au résultat de 250 000 battements d’ailes. Ce qui équivaudrait pour vous à faire un quart de million de pompes.


J’aimerais à présent vous poser une question. Comment pouvais-je savoir qu’il me fallait engraisser de 70 g exactement pour arriver jusqu’à Hawaii? Qui donc m’a dit d’aller à Hawaii ? Qui m’a indiqué la direction à prendre ?


Je n’ai jamais effectué un vol de reconnaissance sur ce trajet ! L’itinéraire ne présente aucun point de repère pour mon orientation. Comment donc ai-je pu, avec mes compagnons, découvrir ces îles minuscules dans l’immensité de l’Océan Pacifique ? Si nous les avions “loupées”, nous serions tombés dans l’Océan, faute de carburant. Tout autour, en effet, à des centaines de kilomètres à la ronde, il y a de l’eau, rien que de l’eau.




Vos scientifiques se creusent encore et toujours les méninges pour comprendre comment nous déterminons et corrigeons notre itinéraire de vol. Les tempêtes nous font fréquemment dévier du cap. En dépit de cela, notre vol se poursuit à travers brouillard et pluie. Indépendamment des rayons du soleil, d’une nuit étoilée ou d’un ciel totalement couvert, nous arrivons toujours au but. En admettant qu’un jour vos scientifiques puissent percer l’un ou l’autre détail concernant ce mystère, sauraient-ils pour autant comment cette surprenante faculté s’est mise en place ? Je veux bien vendre la mèche: Dieu, le Seigneur, a intégré dans notre organisme un système de pilotage automatique. Vos avions à réaction sont équipés d’instruments de navigation analogues. Ils sont connectés à un dispositif d’ordinateurs qui mesurent en permanence la position de vol et la comparent avec le trajet programmé. En cas de déviation, ils corrigent et redressent automatiquement le cap. Concernant notre propre système de navigation, le Créateur a programmé les coordonnées du trajet “Destination Hawaii” de telle sorte que nous puissions maintenir le cap sans peine. Considérez bien ce détail! Ce dispositif de pilotage automatique est incorporé dans un volume des plus réduits, tout en fonctionnant de manière absolument fiable! Êtes-vous toujours persuadé que tout cela n’est que le fruit du pur hasard ? Moi, pas ! Réfléchissez donc un peu ! Supposez qu’un ancêtre du pluvier doré -peu importe ce que cela pouvait être- ait engraissé de 70 g exactement tout à fait par hasard. Croyez-vous que, de la même manière, par hasard, lui soit venue l’idée de s’envoler ? Que par aventure il ait pris la bonne direction, sans dévier, sur une distance de plus de 4 000 km? Pensez-vous sérieusement qu’il ait pu trouver “ces îles” dans l’immensité de l’Océan, comme cela, par hasard ? Et les jeunes pluviers (de la nouvelle génération) auraient-ils pu vraiment, à leur tour, revivre ces mêmes situations hasardeuses ? Considérez-le donc bien ! La plus légère déviation du cap programmé suffirait à faire périr irrémédiablement l’espèce tout entière !


Je ne vous ai pas encore tout raconté.


J’effectue les 4 500 km de vol, en 88 heures, donc à une vitesse d’environ 51 km/h. Certains scientifiques ont découvert que, pour notre espèce, cette vitesse est idéale.


Si nous volions plus lentement, nous utiliserions trop de carburant rien que pour maintenir le “moteur” en mouvement. En vol plus rapide, trop d’énergie serait gaspillée pour surmonter les forces de frottement de l’air. Un phénomène analogue se produit d’ailleurs pour votre voiture. Si vous dépassez la vitesse de 110 km/h, la consommation d’essence augmente pour la même distance parcourue, à cause de la résistance de l’air. Seule différence : vous pouvez vous arrêter à la prochaine station pour refaire le plein! Pas moi!... Les 70 g de graisse doivent à tout prix suffire pour atteindre le but, en dépit d’éventuels vents contraires.

Avez-vous la “bosse des maths” ? Dans ce cas, prenez votre calculatrice ! Selon certains chercheurs, les pluviers de notre espèce transforment en une heure de vol 0,6 % de leur poids en énergie motrice et en chaleur. La construction de vos avions s’avère nettement plus médiocre. Par rapport à son poids, un hélicoptère, par exemple, utilise 7 fois plus de carburant que moi et un avion à réaction, 20 fois plus.


Je pèse 200 g en début de vol; 0,6 % de ce poids représentent 1,2 g. Après une heure de vol, je pèse donc encore 198,8 g dont 0,6 % correspondent à 1,19 g. Après deux heures de vol, mon poids est donc réduit à 197,61 g dont à nouveau il faut déduire 0,6
%... Vous suivez toujours? Vous verrez, même les “maths” peuvent servir à célébrer la gloire de Dieu...

Au terme de mon voyage, mon poids ne doit pas être inférieur à 130 g, sinon toutes mes réserves seraient épuisées, je ferais une chute libre dans l’océan et me noierais. Continuez vos calculs, s’il vous plaît! Après trois heures de vol, je pèse 196,42 g. Après quatre heures, 195,24. Calculez encore, j’attends vos résultats... Qu’y a-t-il? Ah bon! Vous pensez que le calcul ne peut tomber juste, vous êtes persuadés que je ne peux arriver au but avec 70 g de graisse. Vous avez constaté qu’il me faut en réalité 82,2 g de lipides. Votre calcul est tout à fait juste! Sur la base de mes données, la totalité de mon carburant serait utilisé après 72 heures de vol. Ce qui signifie qu’à 800 km du but, je serais condamné à la chute fatale.

Voyez! Mon Créateur a aussi pensé à cela. Il nous a équipés chacun de deux informations vitales.

1. Ne vole pas en solitaire par-dessus l’immense océan, mais reste toujours en groupe.


2. Pour ce vol, rangez-vous toujours en forme de “V ”.


Ce type de vol permet à chaque participant une économie moyenne d’énergie de 23 % par rapport au vol solitaire. Ce bénéfice ne profite évidemment pas à l’oiseau de tête, mais celui-ci ne remplit pas cette tâche en permanence. Comme l’effort à fournir à l’avant est plus considérable, ce sont les plus costauds qui se relaient. En queue de groupe, on utilise d’autant moins d’énergie. C’est ainsi que nous mettons en pratique un comportement que votre Bible mentionne comme “la loi du Christ
“: “Portez les fardeaux les uns des autres”.

Nous sommes ainsi en mesure d’atteindre en toute sécurité nos quartiers d’hiver. Il nous reste même à chacun quelques grammes de graisse. Notre Créateur a prévu et programmé ce petit excédent pour pallier d’éventuels vents contraires. Quelle merveilleuse prévenance!


Pouvez-vous continuer à croire que je suis le fruit du hasard et que j’ai échoué là par pure aventure ?

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25 octobre 2009 7 25 /10 /octobre /2009 19:37

Réflexion
Science sans conscience n'est pas science
. La médecine aujourd'hui est-elle en phase d'évolution ? Nous I'espérons tous. Les paroles des experts du Rochefeller Institute of Medicine sont éloquentes: "Si les médecins d'aujourd'hui ne deviennent pas les nutritionniste de demain, ce sont les nutritionnistes qui deviendront les médecins de demain. " Néanmoins aujourd'hui, en ce qui concerne le domaine médical, serait pour un(e) professionnel de la santé d'intégrer la sociologie, la psychologie, la psychiatrie, la neurologie, I'endocrinologie et I'immunologie parce que Ie système nerveux, endocrinien, immunitaire sont des processus d'information  intégrés dont la fonction est de s'adapter aux stress externes et internes dans le but d'assurer la survie de l'organisme (c'est-à dire l'identité et la survie d'un individu - quand I'identité va jusqu'à la notion de la famille et de la société).




Le problème d'une médecine conventionnelle est que trop de praticiens se cantonnent dans le "tiroir" de leur spécialité, sans que cela veux dire que se se sont de mauvais thérapeute, loin de là, mais Ils ne font jamais le lien avec les idées d'autres spécialistes pour former un ensemble ou un concept global de dysfonctionnement ou de maladie.
Par exemple, les psychiatres ne peuvent pas accepter I'idée de I'explication d'une maladie mentale par le système endocrinien ou immunitaire car elle est en dehors du cerveau et elle est alors une maladie physique et non mentale. Le plus souvent, Ies maladies mentales ont toujours une composante physique. C'est un point de vue très différent de ce qu'est la maladie mentale. Par exemple, les endocrinologues ont limité leur spécialité aux extrêmes des maladies endocriniennes (pour exemple, le dysfonctionnement de la glande surrénale : la maladie d'Addison et celle de Cushing.) Aussi, les endocrinologues ne font pas le lien entre le dysfonctionnement hormonal et la fonction d'autres systèmes.

Par exemple, ils ne savent pas comment les hormones affectent le cerveau puisque leur connaissance sur celui-ci s'arrête à l'hypothalamus. Dans le but de voir la forêt avant les arbres, il faut avoir une connaissance générale plus approfondie de la chimie organique, biochimique, physiologique jusqu'au fonctionnement de I'individu en société. Cela représente un énorme domaine à couvrir.

Heureusement, il y a de plus en plus de médecins qui pratiquent une médecine intégrale (où le médecin pratique une fusion de spécialités). En étudiant ainsi la forêt avant les arbres, cela leur permet de voir comment tout le fonctionnement du corps humain est imbriqué. Utopie ou réalité, espérons que ce genre de médecine émergera afin d'aider les patients à sortir du tsunami de pathologies modernes qui avance de façon exponentielle. Le but de cette nouvelle médecine : la santé des personnes et le renflouement de la sécurité sociale.
Réflexion
Bruno Lacroix (partie d'article publié MM en janvier 2007) 

 

 
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21 octobre 2009 3 21 /10 /octobre /2009 13:51

Le domaine du fitness et du sport est souvent monde plein de préjugés, notamment sur les moyens mis en œuvres pour améliorer son système cardiovasculaire. L’un des facteur souvent occulté est le volume d’entraînement. L'erreur la plus commune, spécialement chez les sujets les plus enthousiastes, est l’excès. Tous oublient que l'exercice est un stimulus. Si tout ce que nous faisons est nourrir ce stimulus, les muscles arriveront à un point où non seulement ils subiront une blessure, mais finirons par ne plus pouvoir répondre au stimulus de l'entraînement et se développeront moins rapidement en ce qui concerne par exemple le bodybuilding.

Les conséquences sont des blessures importantes comme des déchirures musculaires ou tendineuses, une usure anormale des tendons, uns fonction immunitaire diminuée avec possibilité d'infection, une fatigue générale, une baisse des performances physiques, des taux de cortisol et d’œstrogènes élevés qui peuvent mener à une augmentation de la graisse corporelle. Maintenant, nombreux sont les magazines professionnels de médecine du sport et de physiologie de l'exercice qui traitent de la baisse du système immunitaire chez les marathoniens, triathlètes et gymnastes.

Il y a de meilleures façons de conditionner le cœur et les poumons sans pulvériser les ligaments, sans perdre de la masse musculaire, sans détruire le système immunitaire et favoriser les inflammations cardio vasculaires !


 

exemple d'excès = le marathon

1- Courir des marathons endommage le foie, la vésicule biliaire et d’autres marqueurs biochimiques. Le HDL baisse et le LDL augmente. Les globules rouges et les lymphocytes sanguins diminuent. La testostérone diminue.
Selon Wu, Worl J Gastroenterol. 2004 Sep 15: 10 (18): 2711-4, " la bilirubine totale (BIL-T), la bilirubine directe (BIL-D), l’alkaline phosphatase (ALP), l’aspartate aminotransférase (AST), l’alanine aminotransférase (ALT) et la lactate déhydrogénase (LDH) augmentent de manière significative pendant la course. Un déclin significatif des globules rouges, de l’hémoglobine (Hb) et des hématocrites (Hct) est détecté le 2ème jour et le 9ème jour  après la course. Le 2ème jour après la course, certaines protéines transporteuses comme la concentration d’albumine et de globuline diminue significativement. Le BIL T, le BIL-D et l’ALP retrouvent leurs niveaux originaux. Le cholestérol (HDL-C) ne change pas immédiatement après la course, mais diminue de manière significative le deuxième et le neuvième jour après la course. En résumé: Courir des marathons engendre une quantité de changements significatifs selon des paramètres hématologiques, dont plusieurs ont un rapport avec des blessures.  Pour apporter des soins de santé et une intervention appropriée, la personne en charge des athlètes travaillant sur la base d’un entraînement fréquent et de haute intensité devra surveiller la fonction hépatique et celle de la vésicule biliaire. 

 

2- Le marathon cause des dommages aïgus et sévères dans le muscle. Des blessures répétitives causent une infiltration de collagène dans les fibres du muscles. D’après Warhol et al Am J Pathol. 1985 Feb: 118 (2): 331-9, " Le muscle des coureurs montre des changements de structure après la course, il y a traumatisme et réparation de la fibre :  œdème intra et extra cellulaire avec blessure endothéliale ; lyse myofibrillaire, dilatation et interruption du système de T-tubule, dégénérescence mitochondriale focale sans infiltration inflammatoire (1-3 jours). Les dommages mitochondriaux et myofibrillaires montrent  une réparation progressive sur 3-4 semaines. Les biopsies des cellules nucléiques et des satellites montrent comme caractéristique une  réponse dégénérative (8-12 semaines). Le muscle des coureurs vétérans indique un dépôt de collagène intercellulaire laissant penser à une réponse d’augmentation de fibrose suite aux blessures répétitives.

 

3 - Courir des marathons amène à un disfonctionnement des reins (anormalités rénales). D’après Neyiackas and Bauer, South Med J. 1981 Dec; 74 (12): 1457-60, "Toutes les analyses d’urine après la course sont grossièrement anormales. Ces anormalités de la fonction rénale se trouvent chez tous les coureurs marathoniens et la sévérité de celles-là est dépendante de la température ».

 

4- La course de Marathon cause  des microthromboses aigus dans le système vasculaire. D’après Fagerhol et al Scan J Clin Invest. 2005; 65 (3): 211-20, "Pendant le marathon, le semi-marathon, la course du 30-km, les taux de calprotectine augmentent respectivement de  façon dramatique. Ces changements peuvent refléter les dommages sur les tissus de l’endothélium vasculaire causant des microthrombines avec activation consécutive des neutrophiles."

 

5- La course du marathon augmente les marqueurs du cancer. Le S100beta est l’un de ces marqueurs. Le tumor necrosis factor, TNF-alpha, en est un autre. D’après Deichmann et al dans Melanoma Res. 2001 June; 11 (3): 291-6. "Les mélanomes métastatiques S100beta aussi bien que dans les mélanomes inhibiteurs d’activité (MIA) sont élevés dans le sérum de la majorité des patients. L’élévation a été mise en corrélation avec une survie plus courte chez des cancéreux, et des changements de ces paramètres dans le sérum pendant les thérapies anti-cancéreuses ont été récemment reportés pour prédire le résultat thérapeutique dans la maladie avancée ».

 

6- D’après Santos et al Life Sci. 2004 September: 75 (16): 1917:24, "Après test (une course de 30 km), les athlètes du groupe de contrôle  présentent une augmentation dans le plasma des concentrations suivantes : CK (x 4.4), LDH (43%), PGE2 x 6.6) et TNF-alpha (x 2.34), indiquant un taux élevé de cellules endommagées et inflammées".

 

7- La course de Marathon endommage le cerveau. Le dommage ressemble à un traumatisme cervical aïgu. Les marathoniens ont le marqueur S100beta élevé, un marqueur qui endommage le cerveau et qui engendre un disfonctionnement de la barrière encéphalique.

D’après Marchi, et al Restor Neurol Neurosci, 2003; 21 (3-4): 109-21, "Le S100beta dans le sérum est un marqueur qui montre l’ouverture de la barrière encéphalique, donc qui peut engendrer des dommages neuronaux. L’élévation massive des S100beta est une indication des dommages du cerveau. On peut donc imaginer les effets néfastes engendrés pour tout ceux qui courent près des axes routiers. Un bon bol d’air en perspective pour bien aérer les neurones… La barrière méningée étant ouverte à tous les intrus toxiques de l’environnement.

 

8- La course du marathon endommage le cœur. D’après Whyte, et al Med Sci Sports Ecerc, 2001 May, 33 (5) 850-1, "Des études avec échocardiogramme reportent un dysfonctionnement cardiaque faisant suite à un exercice d’ultra-endurance chez des individus entraînés. La compétition d’Ironman et de semi-Ironman a pour conséquence des anomalies la fonction systolique et diastolique sur le ventriculaire gauche. Le grand triathlète Greg Welch, après des années de compétition a eu son cœur qui a lâché, il est aujourd’hui vivant et journaliste. D’autres triathlètes ont dû se résoudre à la pose d’un pacemaker tel l’américain Marck Montgomery (Sport & Vie HS 24)

 

9- Les athlètes d’endurance ont plus de dégénération de la colonne vertébrale que n’importent quels autres athlètes. D’après Schmitt et al Int J Sports Med. 2005 Jul; 26 (6): 457-63, "Le but de cette étude était d’évaluer la densité minérale de l’os chez des athlètes de haut niveau pratiquant plusieurs disciplines ainsi que d’évaluer les changements dégénératifs sur leur densité osseuse. 150 athlètes ont été étudiés (40 lanceurs, 97 sauteurs, 22 athlètes d’endurance). Les lanceurs avaient un taux de masse corporelle plus importante que les sauteurs et les athlètes d’endurance. Les lanceurs et les sauteurs avaient une densité osseuse plus élevé que les athlètes d’endurance. Des analyses variées ont montré une corrélation négative de a densité osseuse avec l’âge, moindre chez les lanceurs, sauteurs que les marathoniens.

 

10 -Au moins 2 participants du marathon de Boston sont morts de cancer du cerveau dans les 10 dernières années. De manière purement anecdotique, on a retrouvé un taux élevé de S100beta ainsi que de TNF-alpha. Ceci est peut être lié au microthrombine de l'endothélium trouvé chez les marathoniens. Le premier coureur marathonien, Phidippides, eut un malaise et mourut à la fin de la course. [ Jaworski, Curr Sports Med Rep. 1005 June; 4 (3), 137-43.]

 
Extrait d' article BL publié en 2008 dans MM

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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 10:18

L’homme moderne, harcelé par l’agression quotidienne de la vie dans les grandes métropoles, passe allègrement de l’excitant matinal au somnifère vespéral : dérisoire synthèse des contraires dans un monde en rupture d’équilibre

Alcool, café, tabac… la drogue est partout. Se calmer, se stimuler avec ces molécules passe par l’inhibition ou l’accélération de certains neuromédiateurs


Malheureusement avec des conséquences souvent négatives. Cela perturbe le fonctionnement de ces neuromédiateurs et, avec le temps, déstabilise nos fonctions organiques avec pour conséquences anxiété, dépression, fatigue, insomnie et épuisement de nos surrénales.

Dans nos synapse, l'espace entre deux neurones, la transmission de l'influx est assurée par des neuromédiateurs. On en a identifié une quarantaine - sur un total possible de plusieurs milliers - et, parmi eux, deux en particulier, dont on a pu étudier les effets corporels et cognitifs : la sérotonine et la dopamine, qui influent directement sur ce qu'on peut appeler l'humeur. La dopamine agit comme un stimulateur : si on en a trop, on est agité ; si on n'en a pas assez, on est ralenti. La sérotonine, comme un antidépresseur. Si on en produit beaucoup, on est euphorisé, intéressé par le monde extérieur.

L'équilibre Dopamine/sérotonine est primordiale pour notre équilibre psychique, le plaisir de retrouver du plaisir (voir vidéo) malheureusement cette équiilibre précaire est souvent perturbé  : environnement, stress, dépression, maladie, âge, génétique. Il engendre de nombreuses pathologies.



Le Rhodiola : un modulateur de la signalisation dopaminergique


Le tryptozol
: un modulateurde la signalisation de la sérotonine




(Les seuls effets secondaires possibles après la prise de Rhodiola/Tryptozol sont ceux trouvés dans cette vidéo. Attention, par contre plus contagieux que H1N1, prenez le temps (6 mn) cela en vaut la peine)

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 18:39
Je vends ma bibliothèque de livres de santé et de médecine. Cette bibliothèque comporte 300 ouvrages dont 90% est en américain et 10% en français. La valeur totale est de 4 600 euros sans les frais de port.

Je vends la bibliothèque complète pour la somme de 2 000 euros.
Pour des raisons pratique, je ne vends pas les livres au détail.


 


Voici la liste des livres :

envoyer un e-mail pour la liste    
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29 septembre 2009 2 29 /09 /septembre /2009 06:30

Parmi les acides aminés présents dans la nature, seuls 20 sont impliqués dans la synthèse des protéines. Par ailleurs, à côté de leur rôle de substrats pour la synthèse protéique les acides aminés ont d’autres fonctions importantes telles que substrats de la néoglucogenèse ou précurseurs de neurotransmetteurs par exemple

 

Chez les adultes sains en bonne santé, neuf acides aminés (valine, isoleucine, leucine, lysine, méthionine, phénylalanine, thréonine, tryptophane, histidine) sont indispensables, c’est-à-dire qu’ils ne peuvent pas être synthétisés de novo par l’organisme et doivent être impérativement apportés par l’alimentation. De plus, dans certaines situations physiologiques ou pathologiques, certains

acides aminés non indispensables peuvent le devenir, comme par exemple, la cystéine chez les enfants en croissance.

On parle alors d’acides aminés conditionnellement indispensables. Un apport alimentaire insuffisant en acide aminé indispensable va entraîner une hydrolyse des protéines de fac¸on à fournir les acides aminés manquants. Étant donné qu’il n’y a pas de réserve importante, la mobilisation des acides aminés se fait aux dépens de protéines fonctionnelles, et donc d’éléments essentiels pour l’organisme (comme le muscle suite à l’hydrolyse des protéines musculaires).

Pour en savoir plus :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Acide_amin%C3%A9

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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 13:54
Le stress oxydatif est impliqué dans le vieillissement mais aussi dans de nombreuses pathologies.
Il est aussi important de bien distinguer quelles sont les pathologies ou le stress oxydant est la cause primordiale, ou le facteur declencheur et les pathologiesqui entraînent un stress oxydant secondaire.


Tout sur le stress oxydant :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Stress_oxydant
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25 septembre 2009 5 25 /09 /septembre /2009 05:59

 

Dieu
  • Seul Dieu parle bien de Dieu.
  • Nous ne connaissons Dieu que par Jésus-Christ. Sans ce médiateur est ôtée toute communication avec Dieu. Par Jésus-Christ nous connaissons Dieu.
    Tous ceux qui ont prétendu connaître Dieu et le prouver sans Jésus-Christ n’avaient que des preuves impuissantes. Mais pour prouver Jésus-Christ nous avons les prophéties qui sont des preuves solides et palpables. Et ces prophéties étant accomplies et prouvées véritables par l’événement, marquent la certitude de ces vérités et partant la preuve de la divinité de Jésus-Christ.
    En lui et par lui nous connaissons Dieu. Hors de là et sans l’écriture, sans le péché originel, sans médiateur nécessaire, promis et arrivé, on ne peut trouver absolument Dieu, ni enseigner ni bonne doctrine, ni bonne morale. Mais par Jésus-Christ on prouve Dieu et on enseigne la morale et la doctrine. Jésus-Christ est donc le véritable Dieu des hommes.
Jésus-Christ
  • Sans l’Écriture, qui n’a que Jésus-Christ comme objet, nous ne connaissons rien et ne voyons qu’obscurité et confusion dans la nature de Dieu et dans notre propre nature.
  • Jésus-Christ est un Dieu dont on s’approche sans orgueil et sous lequel on s’abaisse sans désespoir.
  • Jésus-Christ est l’objet de tout, le centre de tout vers lequel tout tend. Qui le connaît, connaît la raison de toutes choses. Ceux qui s’égarent ne s’égarent que manque de savoir une de ces choses.
  • Jésus-Christ a dit les choses grandes si simplement qu’il semble qu’il ne les a pas pensées, et si nettement néanmoins qu’on voit bien ce qu’il pensait. Cette clarté jointe à cette naïveté est admirable.
  • Qu’il y a loin de la connaissance de Christ à l’aimer !
  • Le bonheur n’est ni en nous, ni hors de nous, mais en Jésus-Christ.
  • Nous implorons la miséricorde de Christ, non afin qu’il nous laisse en paix dans nos vices, mais afin qu’il nous en délivre.
  • La connaissance de Dieu sans celle de notre misère fait l’orgueil.
    La connaissance de notre misère sans celle de Dieu fait le désespoir.
    La connaissance de Jésus-Christ fait le milieu parce que nous y trouvons et Dieu et notre misère.
La Bible
  • Qui veut donner le sens de l’Ecriture et ne le prend pas de l’Ecriture est ennemi de l’Ecriture.
Les prophéties bibliques
  • Quand un seul homme aurait fait un livre des prédications de Jésus-Christ, pour le temps et pour la manière, et que Jésus-Christ serait venu conformément à ces pro­phéties, ce serait une force infinie.
    Mais il y a bien plus ici. C’est une suite d’hommes durant quatre mille ans qui constamment et sans variation vien­nent l’un ensuite de l’autre prédire ce même avènement. C’est un peuple tout entier qui l’annonce et qui subsiste depuis quatre mille années pour rendre en corps témoignages des assurances qu’ils en ont, et dont il ne peuvent être divertis par quelques menaces et persécutions qu’on leur fasse. Ceci est tout autre­ment considérable.
  • La plus grande des preuves de Jésus-Christ sont les prophéties. C’est à quoi Dieu a le plus pourvu, car l’évènement qui les a remplies est un miracle subsistant depuis la naissance de l’Église jusque à la fin.
    Aussi Dieu a suscité des prophètes durant 1600 ans, et pendant 400 ans après il a dispersé toutes ces prophéties avec tous les Juifs qui les portaient dans tous les lieux du monde. Voilà quelle a été la préparation à la naissance de Jésus-Christ, dont l’Evangile devant être cru de tout le monde. Il a fallu non seulement qu’il y ait eu des prophéties pour le faire croire, mais que ces prophéties fussent répandues dans le monde entier pour le faire embrasser par tout le monde.
  • Je vois plusieurs religions contraires et, partant, toutes fausses, excepté une. Chacune veut être crue par sa propre autorité et menace les incrédules. Je ne les crois donc pas là-dessus. Chacun peut dire cela. Chacun peut se dire prophète, mais je vois la chrétienne et je trouve des prophéties, et c’est ce que chacun ne peut pas faire.
Les miracles
  • Je hais ces sottises de ne pas croire aux miracles. Si l’Evangile est vrai, si Jésus-Christ est Dieu, quelle difficulté y a-t-il là ?
  • Si j’avais vu un miracle, disent-ils, je me convertirais. Comment assurent-ils qu’ils feraient ce qu’ils ignorent ? Ils s’imaginent que cette conversion consiste en une adoration qui se fait de Dieu comme un commerce et une conversation telle qu’ils se la figurent. 
    La conversion véritable consiste à s’anéantir devant cet être universel qu’on a irrité tant de fois et qui peut vous perdre légitimement et à toute heure, à reconnaître qu’on ne peut rien sans lui et qu’on n’a rien mérité de lui que sa disgrâce. Elle consiste à connaître qu’il y a une opposition invincible entre Dieu et nous et que sans un médiateur il ne peut y avoir commerce.
L’homme
  • Il n’y a que deux sortes d’hommes, les uns justes qui se croient pécheurs, les autres pécheur que se croient justes.
  • L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature ; mais c’est un roseau pensant. Il ne faut pas que l’univers entier s’arme pour l’écraser : une vapeur, une goutte d’eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l’univers l’écraserait, l’homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu’il sait qu’il meurt, et l’avantage que l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien.
    Toute notre dignité consiste donc en la pensée. C’est de là qu’il nous faut relever et non de l’espace et de la durée, que nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le principe de la morale.
    Pensées, 1660
  • Tout homme peut faire ce qu’à fait Mahomet, car il n’a pas fait de miracle et n’a pas été prédit. Nul homme ne peut faire ce qu’à fait Jésus-Christ.
  • L’homme n’est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie, et en soi-même et à l’égard des autres. Il ne veut donc pas qu’on lui dise la vérité. Il évite de la dire aux autres ; et toutes ces dispositions, si éloignées de la justice et de la raison, ont une racine naturelle dans son cœur.
  • Il est dangereux de trop faire voir à l’homme combien il est égal aux bêtes, sans lui montrer sa grandeur. Et il est encore dangereux de lui trop faire voir sa grandeur dans sa bassesse.
    Il est encore plus dangereux de lui laisser ignorer l’un et l’autre, mais il est très avantageux de lui représenter l’un et l’autre.
    Il ne faut pas que l’homme croie qu’il est égal aux bêtes ni aux anges, ni qu’il ignore l’un et l’autre mais qu’il sache l’un et l’autre.
La raison
  • Ce sera une des confusions des damnés de voir qu’ils seront condamnés par leur propre raison par laquelle ils ont prétendu condamner la religion chrétienne.
  • La dernière démarche de la raison est de reconnaître qu’il y a une infinité de choses qui la surpassent. Elle n’est que faible si elle ne va jusqu’à reconnaître cela. Si les choses naturelles la surpassent, que dira-t-on des choses surnaturelles ?
  • Deux excès : exclure la raison, n’admettre que la raison.
  • Toutes les objections des uns et des autres ne vont que contre eux-mêmes, et pas contre la religion.
Marie
  • L’Evangile ne parle de la virginité de Marie que jusqu’à la naissance de Jésus-Christ. Tout par rapport à Jésus-Christ.
  • La foi est différente de la preuve : l’une est humaine, l’autre est un don de Dieu.
  • Entre nous et l’enfer ou le ciel, il n’y a que la vie entre deux qui est la chose au monde la plus fragile.
  • Il faut n’aimer que Dieu et ne haïr que soi.
  • Deux erreurs : prendre tout littéralement, prendre tout spirituellement.
  • J’essaye autant que je puis de ne m’affliger de rien et de prendre tout ce qui arrive pour le meilleur... L’essence du péché consistant à avoir une volonté opposée à celle que nous connaissons en Dieu, il est visible, ce me semble, que quand Il nous découvre sa volonté par les événements, ce serait un péché de ne pas s’y accommoder.
  • Il faut de l’agréable et du réel, mais il faut que cet agréable soit lui-même pris du vrai.
  • Quand on lit trop vite ou trop doucement, on n’entend rien.
  • Notre intelligence tient dans l’ordre des choses intelligibles le même rang que notre corps dans l’étendue de la nature.
  • Notre nature est dans le mouvement, le repos entier est dans la mort.
  • Le silence éternel de ces espaces infinis m’effraie.
 
Blaise Pascal (1623-1662)
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23 septembre 2009 3 23 /09 /septembre /2009 12:00
Le mercure peut exister sous 3 formes dans le corps :

  • le Hg 0 : C'est celui qu'on trouve dans les thermomètres, et qui est métallique

  • le Hg 1 : ou mercure organique, lié au poisson. Il nous vient aussi des plombages lors de la déglutition.

    En effet, ce sont certaines bactéries qui transforment le mercure métallique en mercure organique. Notons que sous cette deuxième forme, il est environ 50 fois plus toxique que sous la forme métallique
  • le Hg 2 : qui est une forme inorganique du mercure.

    C'est sous cette forme qu'il se dépose dans les dents.
    Les membranes cellulaires ne présentent pas de barrière contre les vapeurs de mercure. Le métal atteint ainsi le cerveau sans aucun problèmes


    Bonne explication sur le mercure dentaire (mais en anglais)
    How Mercury Causes Brain Neuron Degeneration University of Calgary Faculty of Medicine Dept. of Physiology and Biophysics
     
On a pu établir un lien entre le mercure et la maladie d'Alzheimer. En effet, lorsque le mercure arrive dans les cellules nerveuses, il provoque les mêmes réactions que celles provoquées par la maladie d'Alzheimer.

Lors d'autopsies du cerveau faites sur des personnes décédées de la maladie d'Alzheimer, on a mesuré quatre fois plus de dépôts de mercure et deux fois plus de dépôts d'aluminium dans leur cerveau que dans celui de personnes mortes de mort naturelle.

Lorsque qu'il arrive dans l'organisme, le mercure s'y disperse, privilégiant cependant certains endroits précis où on le trouve en plus grande concentration.

Les sportifs de haut niveau ne peuvent pas avoir de mercure dans leurs muscles, ces derniers étant trop utilisés. De ce fait, on trouve un haut pourcentage de sclérose en plaques chez ces personnes.

Ne pouvant se fixer dans les muscles, le mercure migrera ainsi essentiellement dans les cellules nerveuses. Notons que, chez les autres personnes, le mercure est réparti de façon plus ou moins régulière dans le corps.

Il semble vident que les maladies infectieuses ne sont très souvent qu'une tentative du corps pour se défendre contre le mercure, particulièrement dans le cas des candidoses.

Le système immunitaire conduit le corps à produire des microchampignons ayant pour fonction de se lier au mercure. Le corps se débrouille mieux avec ces microchampignons qu'avec des dépôts intra ou extracellulaires.

Ainsi les maladies dues à ces microchampignons se présentent sous un jour nouveau.

Un chercheur japonais vivant à New York, le docteur Yoshiaki Omura, a trouvé une relation entre les maladies virales et bactériennes et les dépôts de mercure. Il n'y a pas d'herpés sans dépôts de mercure. Cette constatation est aussi valable pour d'autres maladies infectieuses, la mononucléose par exemple. Tout ceci nous permet d'appréhender le problème des maladies infectieuses d'une toute nouvelle façon.


Excellent rapport du Professeur Picot et du Dr Grossman sur le lien entre amalgames dentaire et Alzheimer.

MercureDentaireAlzheimerAPMG112007.pdf MercureDentaireAlzheimerAPMG112007.pdf
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