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28 août 2009 5 28 /08 /août /2009 09:04

DES CLÉS POUR

COMPRENDRE

- Nanomètre : unité de mesure correspondant à un milliardième de mètre (nm).

- Nanotechnologies : concernent la conception, la manipulation et la production  contrôlée de substances, matériaux, dispositifs et systèmes nouveaux dont la taille va de 0,2 à 100 nanomètres. Par comparaison, le diamètre d’un cheveu fait

environ 80.000 nm de diamètre, et une bactérie mesure entre 800 et 3.000 nm.

- Nanotube de carbone : forme de structure cristalline du carbone, il suscite un énorme intérêt du fait de ses propriétés exceptionnelles. D’après des simulations électroniques, sa résistance serait environ 200 fois supérieure

à celle de l’acier pour un poids six fois moindre. Certains nanotubes seraient plus durs que le diamant. Ils ont une conductivité électrique supérieure à celle du cuivre et 70 fois supérieure à celle du silicium principal constituant actuel

des puces électroniques.

 

NANOMUTATIONS DE L’ADN

L’étau se resserre autour des nanoparticules et de leur  toxicité éventuelle sur l’ADN. Une équipe de l’Université

du Massachusetts a ainsi mis en évidence un lien  entre l’exposition à des nanoparticules de carbone C60,

les fullerènes, et des mutations du génome. Ils ignorent par contre encore  le mode d’action de ces particules sur l’ADN : profond ou superficiel ? Par  ailleurs, à Namur, des chercheurs s’intéressent aussi à la toxicité des nanos.

Leurs premiers tests sur un épiderme reconstitué, montrent que des agrégats

de nanoparticules semblent altérer la structure de la peau.

Sources : Le Soir, 18/04/07, 3/05/07.

 

reflexion :

Apocalypse 13
 
13.16
Et elle fit que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçussent une marque sur leur main droite ou sur leur front,
13.17
et que personne ne pût acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom.
13.18
C'est ici la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six.

C'est déjà à notre porte :


 

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 17:35

Notre énergie est véritablement reliée à nos fonctions métaboliques, et dans notre société de productivité où l'on nous demande d'être performant, nous devons être en parfaite santé afin de pouvoir soutenir les différentes activités journalières. Beaucoup de personnes se "shootent" à la caféïne, à la nicotine et d'autres substances toxiques afin d'accroître leur énergie. Tout ceci est un leurre, car en fait malgré les effets positifs à court terme, les effets à moyen et long terme sont catastrophiques, le capital santé diminue et enferme la personne dans une spirale descendante. Le contraire de l'enfer-me-ment, c'est la vérité, et la vérité, c'est d'optimiser son statut hormonal le plus longtemps possible pour accroître sa santé et son énergie. Beaucoup d'hormones sont impliquées en ce qui concerne notre énergie. Citons, l'hormone de croissance, les hormones sexuelles, le cortisol et la thyroïde. Nous allons dans cet article comprendre la nécessité d'avoir une bonne fonction thyroïdienne afin d'avoir l'énergie nécessaire journalière pour notre métabolisme et notre énergie. Beaucoup pensent avoir une bonne thyroïde, surtout après vérification de la TSH et la thyroxine par leur médecin (test traditionnel). Les valeurs de T4 et TSH peuvent être normales, et le médecin conclut que le métabolisme de votre thyroïde est normal. Malheureusement, cela s'avère faux car si le taux plasmatique de T3 est bas et plus particulièrement l'excrétion urinaire de T3 très faible (reflet direct de la consommation tissulaire de T3), vous êtes en hypothyroïdie.

  Le taux de T3, la triodothyronine est l'hormone active, la thyroxine T4 n'est qu'une pro-hormone. Sa transformation en T3 est vitale. Toute baisse de cette hormone T3 est appelé par la communauté médicale syndrome de basse T3. Aux USA,  la communauté scientifique suggère le terme d’hypothyroïdie de type 2 comme le diabète qui comprends le type I et II. L’hypothyroïdie de type 2 n’est pas une insuffisance glandulaire mais une mauvaise conversion de thyroxine en triiodotyronine. Cela peut se produire aussi bien chez une personne avec une glande thyroidienne qui fonctionne bien ou une personne en hypothyroidie sous T4 (lévothyrox seule.)
http://www.fsaam.com/IMG/_article_PDF/article_27.pdf

Cette baisse de T3 crée de toute pièce une hypothyroïdie et les symptômes sont une fatigue le matin et au repos, de la frilosité, des mouvements et des pensées lentes (ou agités, en effet paradoxalement certains hypothyroïdiens deviennent hyperactifs, hyperkiniques afin accéléré la circulation de sang), d'une mauvaise mémoire et de difficultés de concentration, de constipation, d'articulations raides et douloureuses, d'un corps gonflé, une peau sèche, des cheveux ternes, secs, drus et clairsemés, un visage bouffi et pâle, des paupières gonflées, des pieds et mains froides. En fait, le métabolisme est au ralenti. La triodothyronine, c'est à dire la T3, est l'hormone indispensable à une bonne croissance musculaire en augmentant la synthèse des protéines et l'IGF-1. Elle permet aussi de brûler l'excès de graisses stockées.
MdM298-094-096-cah03-1-.pdf MdM298-094-096-cah03-1-.pdf

 

Un bon forum sur la thyroide

http://thyroide-fibromyalgie.blogspot.com/

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 15:32

Notre cerveau englobe les activités du système nerveux, le système endocrinien et le système immunitaire. Ces trois systèmes fusionnent pour ne faire qu’un : un système de traitement de l'information, qui utilise des milliers de messagers chimiques (des neurotransmetteurs, des hormones et des cytokines) pour transmettre des données, pour déterminer le comportement.

Ces informations conduisent à une meilleure compréhension des causes physiologiques sous-jacentes des problèmes d’anxiété, de dépression, de fatigue. Un bon thérapeute cible non seulement les neurones, mais l'ensemble du cerveau, c’est à dire le système nerveux, le système endocrinien et le système immunitaire afin d’améliorer la santé mentale.




L'équilibre entre les neuromédiateurs dopamine/sérotonine est crucial pour notre bien-être, notre énergie et notre façon de penser.


la dopamine accroît la motivation, l'énergie mentale, la vivacité d’esprit et la créativité.

 L’état d’hypoactivité dopaminergique a tendance à diminuer l'éventail d'activités de l’organisme et l’énergie.

 15--nutranews-fatigue1.pdf 15--nutranews-fatigue1.pdf 16-nutranews-fatigue2.pdf 16-nutranews-fatigue2.pdf

 

 

Le déficit en catécholamines est dû à diverses causes : environnement, stress, dépression, maladie, âge, génétique. Il engendre de nombreuses pathologies. Il est donc urgent de bien diagnostiquer une altération de nos neuromédiateurs afin d’agir rapidement sur l’amélioration de la neurotransmission.


Qu’elle est la fonction/type de la dopamine ?

 

    Source de notre force mentale et de notre énergie

    Onde béta du cerveau (supérieur à 12 Hz)

    Agit comme une amphétamine naturelle et modifie toute l’énergie du cerveau

    Motivation

    Intelligence et pensée abstraite

    Poser les objectifs

    Personnalité

    Enthousiasme pour de nouvelles idées

    Métabolisme et digestion

    La dopamine provoque l’électricité qui contrôle par la volonté des mouvements notre intelligence, la pensée abstraite, notre personnalité et les plans d’avenir.

    Un produit accessoire de la circulation de la dopamine est la dissémination d’adrénaline.

    Régulation de la pression sanguine

 

Qu’elles sont les maladies/dysfonctionnements d’une carence en dopamine

 

    Maladies liées aux dépendances

    Surpoids/obésité

    Profonde fatigue

    Dépression/anergie/manque d’élan vital

    Irritabilité 

    Manque de concentration

    Baisse de la libido

    Parkinson

    THADA

La sérotonine est le neuromédiateur du bien être cérébral, permettant de voir la vie plus sereinement, elle diminue les effets du stress, de la boulimie et de l'anxiété. Sa déficience engendre de nombreux problèmes physiologiques. Nombreuses stratégies augmentent la sérotonine : gestion du stress, relaxation, prière, musicothérapie.
D'un point de vue micro nutritionnelle, on peut augmenter sa sérotonine avec des compléments :
MM-serotonine-BL.pdf MM-serotonine-BL.pdf

 

La femme est généralement plus suceptible à une déficience en sérotonine (il existe plusieurs causes : une déficience thyroidienne, un manque d'oestrogène, le syndrome prémenstruel).


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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 12:46

Souvenez-vous de ce numéro spécial du Times de Janvier 1999 qui expliquait comment le génie génétique ou plutôt la manipulation génétique serait l’avenir de la médecine. Certes, la manipulation génétique peut aider certaines maladies génétiques mais ne peut rien contre l’accélération des maladies chroniques modernes ou l’amélioration de la santé. Dans cette même année, Daniel Cohen, Directeur du centre d’étude sur le polymorphisme humain, l’un des rares pionniers français de la recherche génétique, confie dans le journal « le Monde » :

 « Dans 30 ans, 90 % de la prévention des maladies courantes devrait pouvoir être faite non pas par des médicaments mais par une bonne adaptation à l’environnement dans lequel on vit, en particulier l’alimentation ». 



Il ne faut pas oublier que nos gènes sont sous l’influence de régulations diverses et naturelles. L’utilisation de bonnes eaux minérales,  du bon air, assez de soleil, une bonne alimentation, certains suppléments alimentaires, suffisamment d’exercice et une grosse pincée d’amour sont suffisants pour la majorité d’entre-nous a maintenir une santé optimum


Aujourd’hui la nutrition est autre chose que calories, glucides protéines et lipides. Un aliment renferme entre 500 et 1000 molécules actives.

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 11:37

 

Les recommandations nutritionnelles actuelles, représentées par la pyramide alimentaire du Ministère de l’Agriculture Américain (USDA) mettent l’accent sur la restriction de toutes les formes de graisses et la promotion de la consommation de féculents. On encourage la consommation de fruits et légumes et de produits laitiers mais on ne fait aucune distinction entre la viande rouge, le poisson, les volailles, les noix et les légumes secs en tant que source de protéines. Ces recommandations semblent être en contradiction avec les études métaboliques qui indiquent d’importantes distinctions entre les différents types de graisses et les différentes formes de glucides. Au cours des dix dernières années, d’importantes études épidémiologiques de l’alimentation et de la santé ont apporté de nouvelles preuves que le type de graisse alimentaire est extrêmement important ; les acides gras trans sont associés à de hauts risques de maladie coronarienne et de diabète, et les matières grasses insaturées sont associées à des risques réduits comparées aux glucides. Une consommation importante de féculents et de sucre raffinés prédispose également à ces maladies, tandis que la consommation de produits céréaliers riches en fibre entraîne des risques moins élevés. Une consommation importante de fruits et légumes présente des avantages certains, mais ces derniers semblent plus importants pour les maladies cardio-vasculaires que pour le cancer. De nombreux composants de ces aliments contribuent probablement à une réduction des risques, et l’acide folique semble être particulièrement important.


Craignant que les recommandations nutritionnelles actuelles soient inadéquates, nous avons utilisé un système de score alimentaire mis au point par l’USDA pour évaluer l’adhésion à la PYRAMIDE ALIMENTAIRE auprès de plus de 100 000 hommes et femmes auprès desquels nous avons recueilli des données alimentaires à plusieurs reprises depuis le milieu des années quatre-vingt. Après plus de quatorze ans de suivi, nous avons découvert que l’adhésion n’était pas associée à une réduction significative des risques de maladies chroniques graves. Nous avons donc créé un indice alternatif qui met l’accent sur des formes saines de matières grasses, de céréales complètes et de poisson, de volailles, de noix et de légumes secs comme sources de protéines. En utilisant la même population d’hommes et de femmes, nous avons découvert que l’adhésion à cet indice alimentaire alternatif faisait apparaître un risque inférieur de maladie chronique grave, notamment une probabilité inférieure de 30 à 40% de maladies cardio-vasculaires. Associées à l’absence de tabac, à une activité physique régulière et à la prévention de la surcharge pondérale, nos données indiquent que ces choix alimentaires pourraient réduire les taux de maladies coronariennes de plus de 80%, de congestion cérébrale de plus de 70%, de diabète de type 2 de plus de 90%, et de cancer du côlon de plus de 70%. Il est clair cependant que des recherches supplémentaires sont nécessaires pour affiner nos connaissances sur l’impact de l’alimentation sur la santé et fournir des recommandations mieux ciblées. En effet, notre système médical actuel a échoué dans l’amélioration de la santé qui serait obtenue par des modifications, pourtant simples et réalistes de notre alimentation et de notre mode de vie.



15 mai 2004

Pr Walter C. Willett 2004 Harvard School of Public Health, Boston, USA.

Référence(s) bibliographique(s)

Rebuilding the Food Pyramid. Walter C. Willett and Meir J. Stampfer. Scientific American. Vol 288, No. 1, pages 52-59, January 2003.

Primary Prevention of Coronary Heart Disease in Women through Diet and Lifestyle. Meir J. Stampfer, Frank B. Hu, JoAnn E. Manson, Eric B. Rimm and Walter C. Willett. New England Journal of Medicine, Vol 343, No. 1, pages 16-22 ; July 6, 2000.

Eat, Drink, and Be Healthy : The Harvard Medical School Guide to Healthy Eating. Walter C. Willett, P. J. Skerrett and Edward L. Giovannucci. Simon & Schuster, 2001.

Adherence to the dietary guidelines for Americans and risk of major chronic disease in women. McCullough M, Feskanich D, Stampfer M, Rosner B, Hu F, Hunter D, Colditz G, Variyam J, Willett W. Am J Clin Nutr 2000 ;72:1214-22.

Adherence to the dietary guidelines for Americans and risk of major chronic disease in men. McCullough M, Feskanich D, Stampfer M, Rosner B, Hu F, Hunter

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 11:35

Fast-food : gare à l’insulinorésistance (Quotidien du médecin)

Plus de deux repas par semaine dans un fast-food pendant quinze ans majorent le risque d’obésité et d’insulinorésistance.

 

 

Résultat d’une étude mise en place en 1985 chez plus de 3 000 jeunes adultes noirs et caucasiens qui ont bénéficié d’un suivi clinique et paraclinique jusqu’en 2000. Dans un premier temps, les investigateurs ont analysé la fréquentation des restaurants rapides. En moyenne, ce sont les hommes noirs qui s’y rendent le plus fréquemment (trois fois par semaine), alors que les femmes blanches n’y mangent que moins d’un fois par semaine. Les hommes fréquentant les fast-food plus de deux fois par semaine pesaient 5 kg de plus et leur risque d’insulinorésistance était doublé par rapport à ceux qui ne s’y rendaient jamais.

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 11:33

Glycémie et comportement

Le sucre, les sodas, la restauration rapide sont certainement des facteurs primordiaux dans le TDHA. En effet, il existe un lien étroit et de plus en plus évident entre la charge glycémique élevée de l’alimentation d’aujourd’hui et le comportement des enfants et des adolescents. Schoentaler nous révèle que chez plusieurs centaines d’adolescents incarcérés auxquels on a donné une alimentation stabilisant la glycémie ainsi qu’un apport en magnésium et vitamine B1, on a constaté une réduction des agressions physiques de 82 %, des vols de 77 %, et du refus d’obéir de 65 %. Quand on observe de quelle façon la délinquance et les troubles du comportements augmentent, ne serait-il pas intelligent de mettre en place assez rapidement des mesures nutritionnelles dans les écoles ?

La libération soudaine d’insuline et la baisse du glucose sanguin causées par une consommation de sucres raffinés (hypoglycémie réactive) augmentent rapidement l’adrénaline, générant un comportement agressif, d’hyperactivité et des problèmes d’attention (Wender et al. 1991).

Avant de penser à le mettre à la SPA, penser à revoir sa nutrition

 

Les enfants atteints de TDAH ont également des rythmes incorrects en ce qui concerne l’hormone du stress, le cortisol, de la même manière que les personnes qui ont des problèmes à métaboliser les hydrates de carbone. Girardi et al. (1995) démontrent une baisse de moitié de la libération de catécholamines (noradrénaline et adrénaline par la surrénale pour contrebalancer la chute rapide du glucose due à l’insuline) par la prise de sucre chez des personnes atteintes de TDAH.

Girardi a aussi montré par scanner chez des enfants souffrant de TDAH une baisse d’activité cérébrale due à une insuffisance en glucose. Les résultats démontrent une détérioration des fonctions cognitives. De nombreux enfants deviennent plus hyperactifs après une consommation de glucose due à un effort de la glande surrénale pour produire plus de catécholamines. Bien évidemment, les études les plus récentes démontrent aussi que le TDAH est lié à un dysfonctionnement des catécholamines et à plusieurs troubles énergétiques des neurones cérébraux (Todd et al. 2001). Malheureusement, les nombreuses études indiquant un lien entre sucre, charge glycémique et TDAH sont souvent occultées. Il est considérablement important de bien équilibrer les repas qui doivent être riches en protéines et hydrates de carbone complexes afin d’augmenter les taux de catécholamines et contrôler les fluctuations de la glycémie. Selon certains scientifiques, il existerait un lien entre l’enfant hyperkinétique et son intestin. En effet, une peptidurie positive aux peptides HK1 et HK2 semblerait évidente et l’éviction des aliments contenant du gluten et de la caséine aurait un effet positif chez les enfants agités. La prise de probiotiques pourrait donner de bons résultats.

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 11:32

Pourquoi certaines personnes utilisant une alimentation riche en glucides ne prennent pas de poids ? Tous les individus ne sont pas sensibles aux hydrates de carbone de la même manière. Dr. Sears affirme que 25 % de la population peut augmenter sa consommation de glucides sans prendre de poids car la réponse à l’insuline est faible. A l’autre extrémité, 25 % de la population est relativement sensible aux hydrates de carbone. Elles possèdent un FTG (facteur de tolérance au glucose) bas.

 

Ces individus risquent de développer à long terme du diabète, des maladies cardio-vasculaires, de l’hypertension et d’autres troubles métaboliques. Entre ses deux extrêmes, on observe chez 50 % de la population restante une élévation progressive du taux d’insuline due à la consommation d’hydrates de carbone, augmentant ainsi les risques de développer des maladies dégénératives. Certaines personnes ne sont pas génétiquement conçues pour absorber une quantité importante d’hydrates de carbone. C’est pourquoi dans notre société actuelle où la consommation de sucres ne cesse d’augmenter, la plupart des individus prennent de l’embonpoint et développent finalement des complications métaboliques. Nos gènes n’ont pas changé depuis plus de 8000 ans, époque où il n’y avait aucunes céréales, pains ou pâtes. Les hommes se nourrissaient de protéines maigres et d’hydrates de carbone à basse densité (fruits et les légumes riches en fibres). Cela ne signifie pas que nous devons systématiquement manger comme des hommes des cavernes mais du moins diminuer notre apport d’hydrates de carbone dans l’alimentation, surtout ceux apportant une charge glycémique trop élevée. L’alimentation constituée de protéines maigres et d’hydrates de carbone à basse densité correspond à l’évolution de notre système digestif qui a peu changé depuis l'origine.

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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 08:46
Pour les amoureux de la couse à pied, le site de mon frère, véritable passionné de la course en montagne :


http://www.deniv.fr/la_team.php?file=eric_lacroix



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27 août 2009 4 27 /08 /août /2009 08:17

240.jpg 

(photo Vladimir)
Lorsque dans l ’immensité des océans, les saumons retournent vers les eaux de leurs origines, ils disposent de l ’incroyable faculté de sentir la trace la plus intime de leur rivière à des centaines de miles de la côte. Il ne leur faut pas boucher les narines car sans odorat, ils sont comme aveugles. Mais plus il se laissent porter par la perception de leurs eaux d ’origine, plus ils sont sûrs de retrouver le chemin. Ils ont beau rencontrer de nombreux obstacles, cascades, abîmes, barrages, dangereuses cataractes et rapide impétueux, ils tenteront de les vaincre. Ensuite, arrivés tout heureux au summum de leur existence, en quelques jours seulement ils vont fêter leurs noces, répandre la semence de tout leur être qu ’ils transmettent à un monde futur avant de disparaître, vidés, accomplis. Par leur mouvement, ils ont vaincu le courant qui les avait portés vers le large. Ils sont arrivés d ’où ils étaient issus. Et par leur départ et leur retour, leur vie fut juste » 
texte de Drewermann

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